2015-06-04

Beijing: la "Cité interdite", quand derrière chaque bâtiment, tel un mille-feuilles, s'en cache un autre, plus merveilleux encore. 2












En remontant du sud vers le nord, on visite d'abord le palais de l'Harmonie suprême (Taihedian). Construite en 1420 sous les Ming et réaménagée en 1695 sous les Qing, la salle, haute de 35 m, longue de 64 m et large de 33 m, occupe une surface de 2 377 m². Vous remarquerez, sur la terrasse en marbre blanc, un cadran solaire et l'emplacement d'une mesure à grains, symboles de la justice impériale. Les cigognes et les tortues en bronze sont des symboles d'immortalité. C'est dans ce palais qu'étaient annoncés les résultats des examens impériaux et que l'empereur recevait les candidats lauréats. C'est aussi dans ce palais que se déroulaient les cérémonies les plus importantes : le couronnement, les anniversaires de l'empereur, les fêtes des solstices et du Nouvel An, et bien d'autres. La longue galerie (hongyige) qui longe le côté ouest de la cour et la délimite, abrite des expositions temporaires, souvent très intéressantes.

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