La mise en place en 1979 de la politique de l’enfant unique, trois ans après la mort de Mao et au moment où Deng Xiaoping lançait sa politique
de réformes et d’ouverture, s’expliquait par des raisons économiques.
Tout comme son abandon, près de quarante ans plus tard, dans une Chine grisonnante et en quête d’un nouveau modèle de développement qui donne une part plus importante à la consommation.
Mais, pour la démographe et sinologue Isabelle Attané, de l’Institut
national des études démographiques (INED), qui publiera en janvier chez
Fayard La Chine à bout de souffle, l’autorisation accordée à tous les couples d’avoir deux enfants ne devrait pas permettre d’assister à une remontée de la fécondité.
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