Certes, le bâtiment est de Victor HORTA et on y trouve des œuvres majeurs
(2 superbes MANET reconnus mondialement ainsi que des toiles appréciables) mais, . . .
(2 superbes MANET reconnus mondialement ainsi que des toiles appréciables) mais, . . .
. . . tout d’abord, l’accueil était carcéral (nous étions pourtant
les premiers visiteurs).
Il semblait être fait par une hôtesse de l’air blasée qui débitait les consignes de sécurité mécaniquement en s’adressant à des débiles profonds.
Il semblait être fait par une hôtesse de l’air blasée qui débitait les consignes de sécurité mécaniquement en s’adressant à des débiles profonds.
La muséographie elle, est cacophonique à l’éclairage déficient
(c’est quand même l’essentiel dans un musée) et la part de l'exposition
provisoire se trouve disproportionnée par rapport à la collection permanente
(riche, mais dans les caves) qui semblait négligée.
Il y a même, une salle avec deux tableaux immenses qui auraient demandés du
recul.
Or, celui-ci est entravé par un ilot central, véritable écrin pour un Rubens
grand comme un timbre-poste.
Or, celui-ci est entravé par un ilot central, véritable écrin pour un Rubens
grand comme un timbre-poste.
PIXIOT le peintre mis (trop) à l'honneur" ?! |
Magritte |
Un vaste espace, très peu utilisé, et des réserves qui débordent . . . |
En sortant, à deux pas, nous nous sommes calmés . . .
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