Les sculptures contemporaines sont de Christian LEROY |
Châsse de Sainte Marie d'Oignies (début 13e siècle) |
Cour intérieur du cloître |
Il y a un an, la société GIM, filiale de Lixon, rachetait deux tiers du couvent des Récollets à Nivelles. Aujourd’hui, un conseiller communal PS s’inquiète des dalles qui ont disparu à l’intérieur.
Au plafond de la cure |
Monsieur DEDOYARD, notre guide. |
L’église des Récollets, dite aussi
Saints Jean et Nicolas, est contiguë au couvent que
des Franciscains
fondèrent à Nivelles au milieu du 13e s.
Mais d’où vient ce double nom ?
Mais d’où vient ce double nom ?
Avant
leur arrivée, existait déjà en 1222 dans le quartier Saint-Jacques une
église dédiée à Saint Nicolas; quelques décennies plus tard était
instituée la chapellenie
(dignité ou charge du chapelain) de Saint-Jean
l’Evangéliste.
Au cours des siècles cette église fut
détruite, reconstruite, fermée à la Révolution française. Au 19e s.,
elle était dédiée à saint Jean l’Evangéliste et on y vénérait toujours
saint Nicolas comme patron secondaire. C’était un petit édifice ogival à
trois nefs que les bombardements écrasèrent en 1940. Il fut rasé et on
installa à son emplacement (à l’angle de la rue de Saintes et de
l’avenue L. Jeuniaux) la fontaine de l’Obélisque, qui ornait auparavant
la Grand-Place.
Depuis 1964, c’est l’église du couvent
des Récollets dans la rue de Charleroi qui fait office de lieu du culte
pour la paroisse des Saints-Jean et Nicolas.
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