La leçon de Cnossos : restauration, conservation, reconstitution.
Il faut constater qu'une honnête conservation des ruines, fussent-elles
bien nettoyées et
dans un joli cadre de verdure, reste décevant . . .
. . . C'est pourquoi Arthur Evans, conscient des effets désastreux des pluies
d'automne et d'hiver sur les revêtements de stuc ou de gypse des salles
d'apparat et des galeries décorées du palais-sanctuaire cnossien,
décida, à partir de 1906 et avec l'aide de son architecte T. Fyfe, de
mettre à l'abri sous des charpentes de bois, puis sous des dalles de
béton, les pièces qui lui paraissaient les plus importantes .
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